Confrontation

Dans une urbanisation croissante, Les lignes froides, géométriques et répétitives des édifices modernes amènent à s’interroger sur la manière dont les humains se déconnectent de leur environnement, voire d’eux-mêmes.
Les gens passent, les bâtiments demeurent. C’est un dialogue entre le mouvement et l'immobilité, entre l'individu et l’oppression urbaine, dans un monde devenu trop grand, trop complexe, qui déshumanise.
Au centre, l’homme sans visage peut être chacun de nous, absorbé par la ville, anonyme.
Pourtant, tout dans sa posture traduit une force intérieure, une résistance silencieuse vers la reconquête de son individualité.
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